Montpellier, France
L'Espace Transit est un lieu dédié à la photographie et ouvert au public toute l'année. L'équipe de transit programme cinq expositions par an, organise des rencontres photographiques et des soirées projections. Elle collabore également avec d’autres structures sur des projets culturels et coordonne des interventions en milieu scolaire.
L'espace transit est soutenu par la Ville de Montpellier, la Région Languedoc-Roussillon et la DRAC Languedoc-Roussillon.



Exposition KING TIDE

Photographies David Barnes


King Tide

Du 2 au 30 mars 2013 à L'Espace Transit

Dans le cadre du Hors les murs Boutographies - Rencontres photographiques de Montpellier



Vernissage le samedi 2 mars à 19h


En présence du photographe

20h00 - Rencontre et discussion avec les photographes de l'édition 2013 des Boutographies

Ouverture les lundis, mercredis et vendredis de 14h à 19h


Les photographies de King Tide couvrent une période de sept ans et évoquent la «maison», le temps qui s’écoule et notre rapport à la mémoire et l’histoire.

L’expression «King Tide» (vives-eaux) fait référence à l’alignement de la Terre, du Soleil et de la Lune qui influence les marées au «périgée» et au «périhélie». Ce phénomène naturel, qui se produit principalement la nuit, passe souvent inaperçu. Dans le cadre de l’exposition, David Barnes fait allusion aux forces tout aussi puissantes, invisibles, qui s’exercent dans notre vie. En mettant l’accent sur les «petites histoires de tous les jours», l’oeuvre se détourne de la «grande» narration et laisse une trace légère ayant trait aux aspects de la vie contemporaine galloise.

Né en 1974 à Cardiff, David Barnes vit et travaille dans le sud du pays de Galles. Son approche repose sur la superposition, associant photographie, films et installations.

Voir le site : www.davidbarnes.info

Exposition financée par un partenariat entre Cynon Valley Museum & Gallery, Ffotogallery, The Arts Council of Wales, The Welsh Government et avec le soutien de l'University of Wales, de la ville de Newport et de FAPC.CO.UK





vendredi 27 juillet 2012

TRANSIT :: LE LIVRE

A l'occasion de ses 10 ans, le collectif Transit publie un livre regroupant des travaux réalisés ces dernières années ainsi qu'une série de travaux inédits réalisés en 2012.  Pour soutenir ce projet, nous vous proposons d’acquérir le livre en prévente au prix de 15€ au lieu de 21€. Le livre sortira à l'occasion du Festival Visa Pour l'Image en septembre prochain.

Vous pouvez dors et déjà télécharger l'appel à souscription ici, toutes les infos y sont indiquées : télécharger l'appel à souscription en PDF
Pour plus d'infos, contactez Valentine Pignet: valentine@transit-photo.com


Merci de votre soutien!

Toute l'équipe de Transit

Exposition Pietro Paolini / TerraProject

Exposition Pietro Paolini / TerraProject

Bolivianas

Du 1 au 29 juin 2012 à l'Espace Transit

Vernissage le vendredi 1 juin à 18h30

Ouverture les lundis, mercredis et vendredis de 14h à 19h

En décembre 2005, Juan Evo Morales Ayma remporte les élections et devient le premier président amérindien de l'histoire des Amériques, tout comme le premier président élu en Bolivie avec plus de 50% des voix.
Morales commence à peser politiquement en tant que leader des « cocaleros », un mouvement de lutte pour les droits des cultivateurs de coca. Avec la fondation du MAS (Mouvement Pour le Socialisme), il s'implique dans tous les conflits sociaux et soulèvements populaires qui secouent le pays. Le MAS se démarque en apportant son soutien aux communautés indigènes qui, bien qu'elles représentent la grande majorité de la population, avaient été écartées de la scène politique jusqu'alors : le gouvernement promeut, entre autre choses, l'accès à l'éducation, les soins gratuits, le soutien des coopératives, la gestion des ressources par l'Etat, et la reconnaissance des pouvoirs indigènes. Après le référendum qui a validé la nouvelle constitution, en décembre 2009, Morales a été re-élu avec 64% des voix. Située au cœur de l'Amérique du sud, la Bolivie est un mélange de plateaux, d'étendue de sel, de forêt tropicales, de steppes et de doux reliefs ; 36 ethnies indigènes se mêlent à la population de pays riche en traditions ancestrales et d'énergie contemporaine.

Ces images offrent une traversée du territoire bolivien durant cette prise de conscience populaire aux conséquences encore incertaines, où tout retour en arrière semble heureusement improbable.

Basé à Florence, le photographe Pietro Paolini commence à s'intéresser à la question sud-américaine et plus particulièrement aux nouveaux pays socialistes, le Venezuela, la Bolivie et l'Équateur, à partir de 2004. Il fonde en 2006 avec 4 autres photographes, le collectif italien TerraProject. En 2012, il remporte le deuxième prix du WorldPressPhoto dans la catégorie Vie Quotidienne avec son travail en Bolivie.

Interview de Pietro Paolini : http://www.terraproject.net/en/journal/2012/05/01/pietro-s-inteviewed-at-world-press-photo-awards-days

Voir les sites : www.terraproject.net // www.picturetank.com








Lancement de Zmâla #3

Revue photographique inter-collective

Le vendredi 3 février 2012 à partir de 18h30

Zmâla est une revue indépendante consacrée à la production des collectifs de photographes, en France et dans le monde. Le foisonnement des structures est tel que nous avons entrepris de réunir une partie de cette grande famille, de cette Zmâla – une trentaine de collectifs rassemblant quelque 200 photographes dans plus de 15 pays –, afin de donner une meilleure visibilité aux collectifs émergents et de défendre ceux dont la notoriété est déjà établie.

Après Perpignan, Paris, Lyon, Chicoutimi (Canada), Bruxelles c’est à Montpellier que la revue sera lancée et présentée au public en présence de l’équipe de Zmâla.

Voir le site : www.zmala.net


+
++ exposition de l'un des sujets publié dans la revue +++


Exposition Alexa Brunet

Exposition Alexa Brunet

En Somme

Du 3 février au 2 mars 2012 à l'Espace Transit

Vernissage le vendredi 3 février à 18h30

Ouverture les lundis, mercredis et vendredis de 14h à 19h

En Somme raconte l’histoire d’une jeunesse paumée : entre ceux qui squattent les parkings ou se bécotent sur le bord du canal et ceux qui cherchent une vraie raison d’être, en participant aux commémorations de fin de guerre, en s’exprimant dans le hip hop ou en s’évadant sur un terrain de moto-cross. Un instant T criant de vérité d’une jeunesse en milieu rural, touchante par sa banalité un peu triste. « En Somme » explore la notion de représentation de l’individu, à la fois dans son environnement immédiat et dans un contexte social en perpétuelle évolution.

Ce travail s’inscrit dans un cycle de résidences sur le monde rural mis en place par Diaphane, pôle photographique en Picardie.

Diplômée de l’école Nationale de la Photographie d’Arles en 2001, Alexa Brunet est membre du collectif transit et de l’agence coopérative Picturetank.

Voir le site : www.transit-photo.com

En partenariat avec Diaphane // www.diaphane.org







Exposition Marc Cellier

Exposition Marc Cellier

Entre chien et loup

Du 27 octobre au 25 novembre 2011 à l'Espace Transit

Vernissage le jeudi 27 octobre à 19h

Ouverture les lundis, mercredis et vendredis de 14h à19h

Comment dire que les animaux nous regardent ?
“Nous avons été habitués à caractériser “l’animal” en le privant des qualités qui définissent “l’humain”.
Ainsi dans le miroir que nous tendons aux bêtes ne se reflète que l’image des hommes.
Elles ne sont plus que des êtres aveugles et muets.”

“Entre chien et loup” tente de restituer le regard que les animaux portent sur nous
en les ré-introduisant, naturalisés, dans un environnement urbain.
Si des bêtes sauvages traversent les villes la nuit, c’est qu’elles nous ont observés
pour savoir quand et par où passer.
Toutes ne se perdent pas.
Elles nous ont bien plus regardés que ce que nous savons communément d’elles.

Marc Cellier

Le photographe Marc Cellier a obtenu l’aide individuelle à la création du Conseil Régional Languedoc-Roussillon pour la réalisation de ce projet. Il est représenté par la Galerie du jour, Agnès b., Paris qui a exposée ce travail à Paris Photo en novembre 2010 et à la Galerie Agnès b. à New-York en juillet et août 2011. Marc Cellier est également membre du réseau Picturetank. Il avait présenté son travail intitulé Sols Mineurs à l’Espace Transit en 2006. L'Espace Transit a coproduit les tirages d'Entre chien et loup.

marccellier@free.fr www.picturetank.com / +336 70 10 91 78






Exposition de Myr Muratet

Exposition de Myr Muratet

Ne mords pas la main qui te nourrit, mange-la

Du 5 mai au 1 juin à l'Espace Transit

Vernissage le 5 mai à partir de 19h

Lecture d'extraits du livre La sécurité des personnes et des biens par Manuel Joseph

Ouverture du lundi au vendredi de 14h à 19h

Le travail de Myr Muratet est une étude de la ville où il vit qu'il mène le plus souvent depuis ses bordures. Il s’attache à rendre la complexité des sujets qu'il aborde en multipliant les approches et les retours sur le terrain et ce, durant des années.
Il opère donc, de préférence dans un rayon n’excédant pas une demi-heure de course à vélo depuis son atelier au nord de Paris. Il a ainsi réalisé Paris Nord une série de photographies sur le contrôle social mis en place à la gare du nord pour en évacuer les marginaux. Et plus récemment, Wasteland, une recherche en cours autour des notions d’ "occupation" et d’ "invasion" menée depuis les friches urbaines de la Seine-Saint-Denis, de la flore : invasive, indigène, exotique et des occupants : roms, roumains, voyageurs...Il bénéficie pour ce travail d’une allocation de recherche du centre national des arts plastiques, Cnap.

On retrouve les photographies de l'exposition Ne mords pas la main qui te nourrit, mange-la (proverbe tzigane) dans le livre la Sécurité des biens et des personnes, cosigné avec le poète Manuel Joseph, publié en novembre 2010 aux éditions P.O.L.

"(...) Les photographies de Myr Muratet, qui occupent la moitié du livre, ouvrent un autre champ sensoriel, proche de celui qu’éveille le texte de Manuel Joseph, mais sans redondance. Dénuées de misérabilisme, mais d’un réalisme fort, ces images de béton et de paysages urbains désolés, de SDF et d’habitants des cités, de flics seuls dans une gare au temps de Vigipirate donnent une représentation de l’univers de Monsieur J., des êtres humains qu’il croise, des urbanismes qu’il arpente. Si elles existent d’elles-mêmes, ces photographies mettent également en contexte le « drame social » – c’est le genre mentionné sur la couverture – qui est à l’œuvre. Car, sans être explicite, la violence affleure ici partout, sous la peau d’un quotidien que l’on croit domestiqué, parqué, réadapté. Dès lors, « la Sécurité des personnes et des biens », comme le suggère ironiquement Manuel Joseph, n’est « plus assurée »." (Christophe Kantcheff - Politis)

myrmuratet@free.fr www.myrmuratet.com / +336 82 32 20 90







Exposition de Cyrus Cornut

Exposition de Cyrus Cornut

Voyage en périphérie

Du 17 février au 17 mars à l'Espace Transit

Vernissage le 17 février à partir de 19h

Ouverture du lundi au vendredi de 14h à 19h


"L’important ça n’est pas la destination, mais la déambulation."

"La photographie est pour moi une condition mentale. J’y suis arrivé par le voyage. Inversement, la nature fixe de l’image a le pouvoir de transporter son spectateur.
Dans la riche diversité des paysages français, les banlieues restent des territoires d’ «antivoyages». Construites dans la hâte et dans une histoire courte, elles sont loin de véhiculer l‘image consensuelle d’une France romantique. Elles sont souvent des dortoirs plutôt que des sites touristiques, des zones d’activités plutôt que les quartiers historiques. Les formes urbaines adoptées épousent la grande échelle. Les principes de la ville classique ont été inversés. Le bâti n’est plus la résultante du dessin de l’espace public, il ne s’insère plus dans un tissu. Emergent alors des volumes platoniciens inspirés des préceptes de la charte d’Athènes où l’espace public devient lâche et résiduel. Le plan urbain s’adapte aux véhicules motorisés et le piéton n’a plus de raison d’être. Si le territoire a ses centres géographiques, économiques, politiques ou culturels, les banlieues en sont le centre névralgique. Fragiles comme toutes entités ayant grandi trop vite, elles nourrissent nos fantasmes et cristallisent bon nombre de questions de l’époque actuelle.
Voyage en périphérie est une extraspection. Cest l’histoire d’un voyage physique dans les banlieues de «ma ville» qui me semblaient hier plus lointaines que quelques grandes métropoles du monde. "

Cyrus Cornut

Français d’origine Irano-Irakienne, né en 1977, Cyrus Cornut vit et travaille à Paris. Architecte de formation, il exerce aujourd’hui en tant que photographe. Son travail s’oriente essentiellement sur la ville, ses évolutions, ses trames, ses traces, ses vides, sa plastiques et sur les comportemnts humains qu’elle induit. Il est membre du collectif Dolce Vita et du réseau Picturetank. En 2010, avec le groupe F14, il expose Voyage en périphérie aux Rencontres d’Arles, puis à la BNF F.Mitterrand à Paris. Son travail a également été publié dans la revue photographique Zmâla.

cyruscornut@gmail.com www.cyruscornut.com / +336 50 75 04 71








Commissariat d'exposition transit

Commissariat d'exposition transit

Vernissage de l'exposition

vendredi 16 juillet à partir de 18h 30 au Pavillon Populaire


+ d'infos www.unreveamericain.blogspot.com








Exposition collective

Exposition collective

E.CO, Encuentro de fotografia

du 13-18 mai 2010, Madrid, Soria, Espagne

Dans le cadre de E.CO, encuentro de collectivos fotograficos EuroAmericanos, les photographes de Transit exposent à Madrid puis réalisent un projet de cration à Soria en espagne en compagnie des collectifs: Odessa, Terra Project, Documentgraphy, SUB, Supay Fotos etc.


infos: http://www.fotoeco.es/







Exposition Yohanne Lamoulère

Exposition Yohanne Lamoulère

ImageSingulières

du 13-30 mai 2010, Sète, France

Yohanne Lamoulère expose Bord à Canal à la Galerie Dock Sud pour la seconde édition du festival Images Singulières à Sète. Ce travail réalisé dans le cadre d’une résidence avec l’auteur Jean-Bernard Pouy au T.E.C de Roubaix fera l’objet dun livre publié aux éditions Invenit qui sortira à l’occasion du festival.


infos: http://www.imagesingulieres.com/






Projection rue Ranchin

Dans le cadre du festival des boutographies,

Mardi 11 mai 2010 / 21h30

Carte blanche au collectif Transit

Projection en collaboration avec le mensuel de critique sociale CQFD
Spécial hors-série "Photos"

Activestills, Coskun Asar, Denis Bourges, Julien Brygo, Pablo Chignard, Gilles Favier, Nanda Gonzague, Pablo Guidali, Mat Jacob, Vincent Lacotte, Yohanne Lamoulère, Sub


durée 40mn environ



infos: http: //www.boutographies.com






Exposition de Pablo Guidali

Exposition de Pablo Guidali

la mar en coche

Du 29 avril au 18 mai à l'Espace Transit

Vernissage le 29 avril à partir de 19h

Ouverture du lundi au vendredi de 14h à 19h



L'origine de ce travail est une réflexion sur les concepts de liberté et de bonheur, la contradiction entre la nature humaine et l'effet de socialisation, dans une société moderne fondée sur une morale ambiguë, qui oscille de façon paternaliste entre une escalade des prohibitions et une permissivité seulement apparente (…)



Photographe uruguayen, Pablo Guidali reçoit en 2007-2008 une bourse du Gouvernement Français pour faire un résidence à l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles où il habite et travaille actuellement.